Françoise Waquet. Albin Michel, 2003.
De l’écart entre l’oral et l’écrit, certes. Mais aussi entre la parole énoncée, sous quelque forme que ce soit, et l’« impression » (Michelet) qu’il en reste pour le destinataire, auditeurs ou lecteurs. Ce que l’un a écrit ou dit, ce que l’autre en comprend.
De l’art de la transcription : susciter une impression adéquate chez le destinataire, auditeur pour celui qui assiste à l’entretien, lecteur pour celui qui découvre par le récit.
https://www.cairn.info/revue-d-histoire-moderne-et-contemporaine-2008-2-page-194.htm