Un choix d’écriture fort : des textes courts, de deux à trois pages. Ça va trop vite… Pas le temps de faire connaissance, d’être touché par la situation. Des croquis, des esquisses, et la composition d’ensemble est finalement trop fragmentaire.
Belle écriture de la part de l’auteure principale, mais nettement moins convaincante quand celle-ci laisse la plume à ses collègues.
Chaque texte s’appuie sur un outil utilisé dans le service, pour aider à l’accompagnement : un schéma des relations familiales de la personne, pour montrer la singularité de chaque situation, l’inscription d’une fin de vie dans un environnement social de proximité plutôt que dans une pathologie. On meurt ou on survit aussi par son entourage…