De la bonne psychanalyse, car ancrée dans la pratique (au risque du conflit idéologique en évoquant des situations cliniques ?). Mais ça me parait bien plus précis et alors évocateur que les généralités façon Mélanie Klein.
Réponse claire, si on peut dire : du tréfonds de la psyché, amassée par les processus de « refoulement », et qui ressurgit par « pulsions », à commencer par la pulsion sexuelle. Les humains les plus quiets sont susceptibles de s’abandonner aux furies, car « ça déborde » quand les « défenses névrotiques » cèdent, quand les « instances juridiques et sociales » ne suffisent plus à la contrer. « Ces poussées sont toujours là, prêtes à surgir, sans respect de l’autre ou de l’environnement, dès que le moi se sent menacé », chez le pékin comme chez le tyran.